27 octobre 2015

Nous ne pouvions pas oublier Strasbourg la belle.







Cette ville qui nous a hébergés de si longues années, et que nous avons appris à apprécier puis à aimer. Beaucoup de nos amis y vivent encore, des amis que nous garderons pour longtemps encore.
Le centre-ville piéton, entouré de canaux et parsemé de cafés et restaurant, aura été le lieu d'innombrables sorties et souvenir.

Strasbourg, mon amour.

Balade touristique

Nous profitons donc de ces quelques heures pour revisiter la ville, faire les touristes et nous remémorer mille et une bêtises. Voici quelques photos de cette ville franco-allemande qui préfigure, peut-être, ce que sera l'Europe de demain.










Illuminations

Le soir, nous dînerons avec Fred, Sandra et Antonin, dans un charmant petit restaurant carnivore qui vient d'ouvrir ses portes. Succulent. 
Nous irons ensuite tous ensemble voir les illuminations de la cathédrale. Rendez-vous annuel s'il en est, mais apparemment, il y'a du neuf cette année. La ville a fait appel à une entreprise différente pour concevoir les jeux de lumière, qui en valent vraiment la peine. On ne peut que confirmer. On assiste littéralement à la naissance de la cathédrale, avec des animations géantes, des jeux de lumière gargantuesques et une magistrale leçon de divertissement instructif. Admirez plutôt ! C'est excellent.








Bottes de sept lieux

D'ailleurs, nous recommencerons ! Les bêtises je veux dire. Mademoiselle Lauryanne, qui n'a pas mis une chaussure depuis un an, s'est dit, tiens, maintenant que nous sommes de retour dans la civilisation, pourquoi je ne mettrais pas une belle robe (j'approuve) et de belles chaussures.
Sauf que le pied doit s'y faire, aux nouvelles godasses. Des pieds qui n'ont connu que la liberté des sandales pendant une longue année. Résultat des courses, après une journée de balade, la miss se découvre autant d'ampoules que de doigts de pied. Sa souffrance est terrrribbble.

Sauf que nous sommes à l'autre bout de la ville, et il faut bien rentrer. À force de l'entendre râler, je n'écoute que mon courage, et lui propose de prendre mes petites sandales bien confortables.

Voici donc Lauryanne, tout heureuse de marcher dans des sandales deux fois trop grandes pour elle, et moi en train de paniquer à l'idée de marcher sur un bout de verre. Il faut trouver une solution !

Fred me prête son vélo, mais les pointes de la pédale, censées améliorer l'adhérence avec la chaussure du cycliste, me font un mal de chien. Heureusement qu'un conteneur à vêtement croise notre chemin, et un pull qui dépasse du tas nous fait de l'œil. 

Fred le récupère, on le déchiquette, et me voilà, fier de mes nouvelles chaussures de fortune, au plus grand amusement des passants, heureusement peu nombreux à cette heure.






Strasbourg, tu nous manqueras !!

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